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QUARANTIEME ANNNIVERSAIRE DE LA PAROISSE SAINTE FAMILLE DE LA RIVIERA II

HOMELIE DU CARDINAL JEAN PIERRE KUTWÃ ARCHEVEQUE D’ABIDJAN A L’OCCASION DE LA CELEBRATION DU QUARENTENAIRE DE LA PAROISSE SAINTE FAMILLE DE LA RIVIERA II 

Paroisse Sainte Famille Riviera II
Abidjan le 9 janvier 2022

Chant : Comment ne pas te louer…

Monseigneur Jean Baptiste AKWADAN, Chapelain de Sa Sainteté, Monseigneur Richard ANOU YAPO, Chapelain de Sa Sainteté, Révérend Père Norbert Éric ABEKAN, Curé de la Paroisse, ses vicaires et son Conseil Pastoral paroissial,
Révérends Pères,
sœurs,
Chers invités,
Chers frères et sœurs en Christ,

Comment ne pas louer Dieu qui nous fait témoins de ces moments privilégiés ? Comment ne pas Le remercier, Lui qui nous fait la grâce d’être encore et toujours à nos côtés, Lui qui mène notre histoire et nos vies pour sa gloire et pour notre bonheur ! Comment rester sans réaction quand on sait tout ce qu’Il fait pour nous, depuis le souffle de vie qu’Il nous renouvelle chaque jour en passant par sa main qui nous garde et nous protège de biens des maux ? Le psalmiste avait raison d’affirmer : ‘‘si je t’oublie, eh bien, que ma main droite se paralyse ! Si je cesse de penser à toi, si je ne fais pas de toi ma suprême joie, eh bien, que ma langue s’attache à mon palais !’’ (Ps 137, 6).

 

En effet, ce jour de la célébration du quarantième anniversaire d’existence de votre paroisse n’est pas sans nous rappeler le jour de son érection en paroisse de plein exercice . Mais il me rappelle surtout un certain 16 janvier 2011, où vous célébriez les trente années d’existence de votre paroisse, dans des circonstances qui n’étaient pas évidentes. Pour dire vrai, en janvier 2011, l’horizon de notre pays semblait bouché et il ne se passait pas de jour sans que l’on ne déplore des morts d’hommes, des destructions de biens, des actes de violence de tout genre avec leur cortège de déplacés.

Partout, l’insécurité s’était accrue, la sérénité avait fait place à la peur alors que notre pays baignait dans la désolation et la tristesse. Le climat social était si tendu que l’on n’avait plus le cœur à la fête. Au total, la crise avait fini par entamer la foi et le moral des plus optimistes, au point de croire et d’affirmer que Dieu a posé sa tente ailleurs, nous contemplant de haut, dans la plus grande indifférence. Et pourtant !

Malgré les difficultés de l’époque liées à la crise qui secouait notre pays, vous aviez décidé de célébrer de façon éclatante le Seigneur, à qui nous devons toute bénédiction et toute grâce. Ce jour-là, je me rappelle vous avoir fait remarquer qu’en décidant de célébrer cet anniversaire dans la grisaille que nous connaissions, vous démontriez ainsi votre foi et votre attachement indéfectible à notre Dieu. Par là même, vous affirmiez haut et fort, que Dieu ne peut pas poser sa tente ailleurs que dans la Sainte Famille.

Aujourd’hui, la situation interne du pays est toute autre et pourrait incliner à plus de joie surtout que Dieu nous fait la grâce de voir cette année nouvelle, alors que depuis 2019, la pandémie de la Covid 19 nous pousse à toute sorte de restriction, et nous ne sommes pas encore sortis de l’auberge ! Mais Dieu a un plan pour nous, un plan jamais pris à défaut et qui nous invite à croire encore et toujours que tout n’est jamais totalement perdu pour celui qui sait puiser profond dans la confiance en Dieu. Oui, nous avons raison de Lui dire merci, Lui qui nous a gardés dans le creux de sa main, pour arriver à ce jour de votre quarantième anniversaire.

Ce plan de Dieu, c’est d’abord celui qui permet qu’aujourd’hui, nous nous retrouvions dans l’église alors qu’après la grande pluie qui s’était abattue sur la ville d’Abidjan et qui avait emporté une partie du toit de votre église, vous étiez obligés à être à l’étroit à la grotte, dans des conditions pas vraiment idéales pour louer Dieu ! Ce même plan de Dieu, c’est aussi celui qui nous fait la grâce d’avoir pu célébrer successivement la fête de Noël, celle de la Sainte Famille, celle de Marie Mère de Dieu et de l’Epiphanie, et le souvenir de ces fêtes est encore tout proche dans nos mémoires et dans nos cœurs.

Révérends Pères,
Frères et sœurs,

A Noël, nous avons célébré la nativité du Seigneur, nous avons chanté Gloire à Dieu au plus haut des cieux ! A l’Epiphanie, nous avons suivi les mages. A peine sorti de ces grandes célébrations, l’Eglise très rapidement nous fait abandonner les évangiles de l’enfance pour aborder l’essentiel de notre foi chrétienne par une autre manifestation du Christ : son ministère public, la vie de Jésus adulte, avec son baptême. Tout se déroule comme si nous étions invités à sortir d’une certaine nostalgie pour plonger avec le Christ dans les eaux de notre quotidien si souvent mouvementé mais surtout pour en rejaillir avec Lui. Cela n’est pas sans conséquence pour notre marche de chrétien.

Dans la première lecture de ce jour qui se situe au temps de l’exil à Babylone, à un moment où les Juifs ,après avoir failli sombrer dans le découragement,  réalisent que Dieu fait toute chose nouvelle en souvenir de son Alliance. En effet, les infidélités répétées à tous les niveaux du peuple avaient fini par faire croire que Dieu les avait abandonnés à leur sort et le texte de ce jour leur montre que Dieu est capable de toujours faire survenir quelque chose de neuf ! 

Ce renouveau que Dieu apporte se traduit bien dès les premières lignes de cette lecture : ‘‘consolez, consolez mon peuple dit votre Dieu’’. Mais cela suppose la participation active du peuple : ‘‘tracez dans les terres arides une route aplanie pour notre Dieu. Tout ravin sera comblé, toute montagne et toute colline seront abaissées, les passages tortueux deviendront droits et les escarpements seront changés en plaine’’. C’est au prix de cette participation que Dieu Lui-même va venir avec puissance car son bras est victorieux ; le fruit de sa victoire l’accompagne… comme un berger, il conduit son troupeau : son bras rassemble les agneaux, Il les porte sur son cœur, et Il prend soin des brebis qui allaitaient leurs petits’’.

Ce résumé de la première lecture appelle quelques remarques et interrogations : s’il est facile d’identifier la figure de Dieu qui console Lui-même son peuple, à l’occasion de la célébration du quarantième anniversaire d’existence de votre paroisse, arriverez-vous à la sortie de cette célébration, à être identifiés vous aussi, comme ceux que le Seigneur envoie sur les chemins de notre pays, de nos quartiers pour établir en son nom, un renouveau pour notre pays ? Désormais, votre mission consiste à établir le droit sur la terre, apporter la lumière aux nations, libérer le peuple, réveiller la foi là où elle dort en la fortifiant, et finalement confirmer l’Alliance entre Dieu et son peuple.

Cette mission, c’est celle que je vous confie, paroissiens et paroissiennes de la paroisse Sainte Famille de la Riviera II.  Désormais, soyez le visage du Christ, bien plus, soyez le Christ, en gardant en mémoire la mission que je vous confie ! Prenez conscience que la vie des chrétiens que vous êtes, est un argument pour ou contre l’adhésion à la personne du Christ et que nous ne pouvons plus nous satisfaire des chrétiens-consommateurs mais muets face aux défis du monde dans lequel ils vivent. Si j’ai salué hier, à l’occasion de votre 25ème anniversaire votre foi et votre détermination pendant les moments sombres de 2011, où en êtes-vous aujourd’hui et quelle est la nature du sauveur que vous proposerez pour notre pays ?

Révérends Pères,
Frères et sœurs,

Dans l’évangile, qui nous rapporte l’épisode du baptême de Jésus, trois enseignements se dégagent : d’abord l’inauguration du règne messianique de Jésus avec la manifestation de Dieu : ‘‘Celui-ci est mon fils bien aimé, en Lui, j’ai mis tout mon amour. Ecoutez-le’’. Ici, Jésus reçoit solennellement de Dieu son Père l’investiture messianique. Le père affirme la filiation du messie : ‘‘aujourd’hui, je t’ai engendré’’ (PS 2, 7). Tout se déroule comme si Dieu le père donne officiellement mission au Fils et le Fils en même temps inaugure son ministère public.

Ensuite, Jésus se fait pécheur pour sauver l’homme. Par ce baptême, le fils de Dieu se révèle semblable aux pécheurs qu’il vient sauver. Il se soumet au même rite qu’eux, se fait l’un d’eux pour les attirer au Ciel. Par cet acte, Jésus fait corps avec notre humanité qu’Il assume : Lui qui n’a pas commis de péché, pour notre salut et dans la perspective de nous tracer le chemin, emprunte la route de la conversion. Enfin, le baptême de Jésus par Jean Baptiste annonce le baptême chrétien : il a donc une valeur prophétique et veut servir d’exemple pour les générations à venir. Jésus se faisant baptiser annonce ce que le baptême chrétien signifie : faire de sa vie un don aux autres pour qu’advienne un monde meilleur.

Ainsi, le Messie commence son ministère public par un geste d’humilité totale. Comme un premier ministre au début de son mandat, Jésus affiche clairement les grandes lignes de la politique qu’Il entend suivre. Dans cette scène, tout le comportement ultérieur de Jésus est déjà prévisible et son profil, déjà dessiné : Il s’incline devant son précurseur comme Il le fera plus tard devant ses Apôtres, quand Il s’abaissera pour leur laver les pieds, malgré et l’étonnement et le refus de Pierre. Par le fait même, Il instaure son grand principe de gouvernement : ‘‘Régner, c’est servir’’.

Et nous chrétiens, comment sommes-nous rejoints et dérangés dans notre propre vie par cette formidable humilité du Christ ? Réalisons-nous quel est notre intérêt à l’imiter ? Savons-nous que l’humilité est la condition indispensable de toute sanctification, car par elle, nous pouvons recevoir la miséricorde ? Si Dieu permet parfois le péché dans nos vies, n’est-ce pas justement pour que nous apprenions l’humilité sans laquelle la sainteté est radicalement impossible ? Nous sentons-nous assez solidaires des pécheurs ? Mesurons-nous assez l’honneur que nous avons d’être baptisés ? En effet, depuis notre baptême, nous possédons une identité unique, c’est-à-dire divine qui nous rends participants du Royaume de l’éternité. En vérité, par le baptême qui est un acte de foi, un accueil de la parole de Dieu, nous entrons dans la communauté du salut, la grande famille de Dieu, l’Eglise de Jésus-Christ.

Mais ne dit-on pas que l’honneur est une charge ? Ainsi, être baptisé, c’est comme dit Saint Paul, c’est être enseveli avec le Christ (Rm 6, 3-5), capable de voir et d’agir selon le dessein de Dieu. Être baptisé, c’est revêtir le Christ (Gal 3, 27) et être marqué de son sceau, c’est-à-dire être sous l’emprise totale et entière du Christ ressuscité (Gal 2, 20), c’est être transformé à l’image de Jésus-Christ. Être baptisé, c’est enfin devenir fils et héritier de Dieu par Jésus, avec Lui, et en Lui. En définitive, il s’agit pour tout baptisé d’entrer dans une qualité nouvelle de relation avec Dieu, relation qui dépasse les barrières humaines, religieuses, sociales, les clivages ethniques, régionalistes et claniques.

La charge qui est la nôtre aujourd’hui, de par notre baptême, c’est celle qui fait que tout baptisé doit devenir pour le monde dans lequel nous vivons et là où l’appel de Dieu nous a placés, des signes vivants au cœur de la société, ‘‘sel et lumière’’ pour les autres. Ce à quoi le Christ nous invite, c’est de vivre à sa suite, cette priorité de l’amour sur la peur devant les manifestations du mal. Et son appel est particulièrement d’actualité : tandis que le monde d’aujourd’hui dit représailles, le Christ Lui, nous commande d’aimer ! Il nous invite à extirper de nos cœurs, la rancœur de la vengeance. Il nous invite à ne pas nous laisser emporter par cette agressivité instinctive qui monte en nous chaque fois que l’on nous cause du tort.

Je voudrais faire remarquer que ces paroles sont autant valables pour vous que pour moi. A mon sens, la fête du baptême de Notre Seigneur doit être une belle excuse pour chacun de nous pour nous remettre en question. Aimons-nous vraiment quand dans nos communautés paroissiales, la politique, insidieusement, nous divise ? Que se cache-t-il derrière nos sourires, sous nos embrassades ? Sommes-nous encore sensibles à la misère et à la souffrance des autres ou bien, nos cœurs ont-ils fini par être anesthésiés ? Que chacun de nous se regarde, et dans le secret de son cœur, en se rappelant son baptême, réponde à Dieu.

Bonne fête à tous ! Bonne ,heureuse et Sainte année à chacun sur tous les plans et que le Seigneur fasse briller sur vous son visage.

 

+ Jean Pierre Cardinal KUTWÃ
Archevêque Métropolitain d’Abidjan

LA NOUVELLE DE LA MESSE

40 ans de marche à la suite de la Sainte Famille de  (Jésus, Marie, Joseph) qui nous penser aux 40 ans de marche du peuple d’Israël, à travers le désert vers la terre promise et qui nous fait penser aux 40 jours de Jésus, au désert dans le jeûne et la prière avant sa mission.

‘’ Nous avons vu son étoile apparaitre en Orient et nous sommes venus l’adorer’’ Mathieu2, 2.

Il y a 125 ANS, des Missionnaires venus de très loin, nous ont apporté la Lumière du Christ Ressuscité. Nous avons alors quitté nos forêts sacrées, nos rivières sacrées, nos montagnes sacrées pour venir l’adorer, Lui le Vrai Dieu.

Il y a 40 ans, où le premier missionnaire prêtres venu de la grande famille Atchan (Ebrié), le Père AKWADAN, Chapelain de sa Sainteté a posé dans cette cité de la Riviera II, les fondations, les bases de cette communauté paroissiale Sainte Famille. Et puisqu’au bout de la vielle corde, l’on tisse la nouvelle, d’autres missionnaires, d’autres prêtres, des curés, des vicaires, des religieux et religieuses, des laïcs engagés ont consolidée et enrichi cette communauté qui va engendrer plusieurs communautés paroissiales pour ne citer que : Bon Pasteur de la Rivier 3, Notre Dame de la Tendresse de la Riviera Golf, Saint Bernard d’Attoban, Saint Joseph de Bonoumin, Saint Michel de M’Pouto etc., etc…

Merci Mgr AKWADAN. Votre amour pour Dieu est grand. Merci pour votre charisme de grand pasteur.

Il y a 40 ans où la cloche a régulièrement sonné Alléluia pour accueillir dans cette communauté de nouveaux baptisés, des confirmés, des mariés mais aussi une douzaine de prêtres ordonnés, originaires de cette paroisse.

La cloche a aussi sonné douloureusement le glas pour accompagner nos frères et sœurs qui ont achevé leur pèlerinage sur cette terre.

N’oublions pas aujourd’hui toutes ces personnes qui ont trouvés la mort sur le chantier de la construction de cette maison de Dieu. Que Dieu les accueille dans sa maison éternelle.

            Ici, je voudrais au nom de toute la communauté paroissiale de la Sainte Famille et au nom de notre archidiocèse, présenter nos sincères condoléances, yako à notre Père Archevêque Jean Pierre Cardinal KUTWA, qui a perdu son compagnon de route, son chauffeur qui le conduisait sur toutes les routes pastorales mais aussi doyen de son village Blokhauss. .Mais la mort n’a pas le dernier mot, la vie se poursuit.

Ainsi, la paroisse de la Sainte Famille durant 40 ans est restée cette mère éducatrice en formant beaucoup de cadres de notre pays, à travers ses écoles : maternelles, primaires et techniques.

            Eminence Jean Pierre, Cardinal KUTWA, archevêque métropolitain d’Abidjan, Révérends pères, révérends frères, révérendes sœurs, chères paroissiennes et chers paroissiens de Sainte Famille, frères et sœurs, à la suite des bergers, avec leurs moutons à la suite des Rois Mages avec leurs présents, l’or, la myrrhe et pastoral, nous sommes venus dans la lumière de l’Esprit Saint qui repose sur Jésus en ce jour de son baptême nous sommes nous aussi venus l’adorer avec nos 40 ans de vie sous le regard de la Sainte famille dans une démarche synodale où amour et vérité se rencontrent, justice et paix s’embrassent, avec évêques, prêtres, religieux et religieuses, laïcs, enfants, jeunes, adultes, personnes âgées, hommes et femmes. Comment rendrais-je au Seigneur, tout le bien qu’il m’a fait, je lèverai la coupe du salut, en invoquant le Nom du Seigneur dit le Psalmiste.

            Frères et sœurs, telle est la très bonne nouvelle de ce jour anniversaire §

Son excellence Monseigneur Paolo BORGIA, Nonce apostolique en Côte d’Ivoire vous présente ses félicitations. Il y aurait souhaité physiquement être des nôtres, malheureusement empêchés à la dernière minute.

Ses prières nous accompagnent.

Bonne célébration !

                                                                       Norbert ABEKAN

                                                                                  Curé

 

MOT DE REMERCIEMENT DU 1er vice-président du conseil pastoral paroissial

Sainte Famille, Sainte Famille !!!

Qu’il est beau pour des frères et des sœurs de se retrouver ensemble à l’occasion de la fête marquant les 40 années d’existence de notre belle et imposante paroisse La Sainte Famille. La participation à la messe de ce jour de toutes ses filles et fils est un signe parlant de notre Joie de vivre.

La célébration eucharistique, à laquelle nous venons de participer en si grand nombre montre bien que, ce jour est un jour de fête et de joie pour nous. Vous voir en si nombreux, m’autorise à prendre ce chant : MERVEILLE, DIEU NOUS AIME, SON AMOUR N’AURA PAS DE FIN !

Oui, merveille, Dieu nous aime, son Amour n’aura pas de fin pour les filles et fils de Dieu que nous sommes.

Permettez-moi de vous adresser un petit mot qui a tout son sens : Merci.

Sainte Famille !

 Sainte Famille !

Qu’il est beau pour des frères et de sœurs de se retrouver ensemble à l’occasion de la fête marquant les 40 années d’existence de notre belle et imposante paroisse

La Sainte Famille.

La participation à la messe de ce jour de toutes ses filles et fils est un signe parlant de notre joie de vivre.

Joie, qui est quelque peu terni par le deuil qui frappe notre Père Archevêque, son Eminence Jean Pierre Cardinal KUTWA.

Oui, son Eminence Jean Pierre Cardinal KUTWA est doublement frappé par la perte de deux (2) proches son chauffeur et leur doyen Eminence yak à vous.

La célébration Eucharistique, à laquelle nous venons de participer en si grand nombre montre bien que, ce jour est un jour de joie et de fête pour nous. Vous voir en si nombreux, m’autorise à prendre ce chant : Merveille, Dieu nous aime, son amour n’aura pas de fin !

Oui, merveille, Dieu nous aime, son amour n’aura pas de fin pour les filles et fils de Dieu que nous sommes.

Permettez-moi de vous adresser un petit mot qui a tout son sens : Merci.

Merci à son Eminence Jean Pierre Cardinal KUTWA, d’avoir accepté de présider cette messe d’action de grâce marquant la fin des festivités des s40 ans de notre paroisse.

Eminence, NANSI ! Nansi ! Nansi !

Merci à son révérend Monseigneur Jean Baptiste AKWADAN, chapelain de sa sainteté, curé fondateur de notre belle paroisse,

Monseigneur Nansi ! Nansi ! Nansi !

Merci à vous, nos chers curé passés et présent, pour vos touches personnes, laissées sur cette paroisse ; merci à Madame Chantal  COMPAORE.

Merci à tous les Pères, ici présents et ceux absents, que Dieu , qui vous a appelé à son service, vous fasse fleurir au milieu de son peuple.

Ayons aussi une pensée pieuse à l’endroit de nos révérends Père Basile DJINRINGBIN et André LENARD de Vénérés mémoires, qui de la haut auprès de notre Seigneur, prennent part à notre joie.

Merci aux révérendes sœurs et aux Révérends frères

Merci aux différents bureaux de conseil passés et présent pour le travail accompli et en cours sur notre belle et imposante paroisse.

Merci à tous nos paroissiens qui ont pris à bras le corps l’organisation de cette fête.

Merci à tous et à chacun.

Que dieu nous garde

                                                                                   Monsieur AIE Léon Stéphane

                                                                                  Président Comité d’organisation